1 avril 2020
Le film 7. Koğuştaki Mucize (impossible à prononcer mais qui signifie littéralement en français « Le miracle de la cellule n° 7 »), est un peu un équivalent de La Ligne Verte version Turque . Ce chef d’oeuvre m’a fait pleuré à multiples reprises comme si je venais de perdre un proche. Et plus de 15 min après que le film soit terminé, je pleurais encore.
Résumé de 7. Koğuştaki Mucize
Dans les années 80 en Turquie, Mémo est un père handicapé mental qui a une fille de 8 ans dont il est très proche. Accusé à tord d’un meurtre qu’il n’a pas commis. Il doit prouver son innocence pour éviter la condamnation à mort et pouvoir retrouver Ova.
La bande annonce
Avis
Ne loupez par cette merveille mais préparez vous à évacuer des seaux de larmes. Je n’avais pas pleuré autant depuis Au Nom de la Terre ou encore Nos étoiles contraires dans des registres différents.
Le casting est parfait et les acteurs super talentueux. L’acteur principal Aras Bulut Lynemli reconnu dans son pays, mérite à lui seul un oscar tellement son jeu est bon. Sans oublier qu’après quelques recherches il s’avère être sacrément beau gosse.
La petite Nisa Sofiya Aksongur qui joue le rôle de la fille transperce l’écran avec sa justesse et sa bouille à croquer.
Vu pendant cette période de confinement les paysages de la Turquie ont fini de compléter la liste pour faire de ce film une petite pépite.
NOTE : Amusez vous à voir qui de votre famille va pleurer en premier car il faudrait avoir un coeur de pierre pour ne pas au moins avoir les yeux mouillés.
Un histoire vraie 7. Koğuştaki Mucize ?
Adapté du film sud-coréen « Miracle in Cell No. 7 » sorti en 2003, je n’ai pas réussi à savoir si l’histoire était vraie donc j’imagine que ce n’est pas le cas. Mais ce qui est certain, c’est que le scénario est d’une tel justesse à l’écran qu’elle pourrait l’être.
Sur Netflix en France le 13 mars 2020