29 décembre 2019
Même si beaucoup pensent que les bio tinder ne sont pas lues sur les applications de dating, et ce qui est souvent le cas. Certains les lisent car elles peuvent grandement aider à savoir si on va avoir certaines affinités avec la personne rencontrée.
Prenons l’exemple de celui qui adore prendre l’avion. Alors que vous pour des convictions écologiques, vous avez drastiquement limité voir arrêté, ça va faire un premier gros point de désaccord.
Et c’est bien le point que vient de révéler un étude début décembre 2019 au sujet des bio tinder.
En effet, Tinder vient de révéler qu’il y aurait 32 fois plus de références à l’environnement dans les bio tinder que des termes relatifs au foot qui étaient le sujet le plus cités jusqu’en 2018 (effet coupe du monde ?).
Pour les 18-25 ans, plus nombreux utilisateurs de Tinder, la personnalité la plus citée dans les descriptions d’utilisateurs est de loin Greta Thunberg, qui écrase les deux derniers du podium : Antoine Griezmann et Killian Mbappé.
En 2022, la coupe du monde totalement climatisée au Quatar, ne va pas arranger les choses.
Cette tendance n’est pas constatée seulement en France. Comme le montrent les statistiques, le mot “causes” est passé devant le “voyage”, une passion pourtant répandu chez les habitués de Tinder, s’affichant pour beaucoup avec des photos de leur tour du monde.
Bref les nouvelles générations seraient à la recherche de partenaires pour changer le monde ou contribuer à aider le changement climatique encore faut-il dépasser le coup d’un soir et ne pas mettre seulement ça pour avoir des matchs.
Paradoxe : tinder associé à l’écologie ?
Reste à se demander si utiliser à outrance une application qui fonctionne avec des serveurs est bien écologique. Ne vaudrait-il mieux pas privilégier les vraies rencontres dans un bar, une asso ou autres ?
On vous laisse méditer le sujet.
