Voilà une vraie question que des millions de parents doivent se poser chaque année « Qu’est-ce qu’un bon parent ? ». Et pour les voir improviser, lire des livres d’experts sur le sujet, en discuter c’est souvent de l’improvisation. Parfois il y en a certains où l’on aperçoit qu’ils ont du mal, d’autres pour qui c’est un peu plus aisé.

Mais la plupart des parents sont unanimes pour dire « On ne nait pas parent, on le devient. »

Le désir de maternité, d’enfants est un sujet vaste qu’on essaie d’aborder autant que possible.
Comme cette femme qui a voulu un enfant toute seule, celle qui en couple depuis 20 ans n’en veut pas ou encore celle qui congèle ses ovocytes (en Espagne !) par sécurité en attendant de trouver le bon.

On a majoritairement la chance de pouvoir choisir d’être parent à quelques exceptions près (futur papa non trouvé par exemple). Mais quand deux personnes s’aiment profondément, ne pourraient-elles pas simplement avoir les moyens de devenir parents ?
L’amour n’est-il pas une des bases primordiales pour élever un enfant dans un bon environnement ?

On vous laisse cette vidéo « qu’est-ce qu’un bon parent » pour vous en convaincre

Et après on aborde le sujet de la charge mentale ?

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On avait vu passer les extraits quelques semaines auparavant et il y avait comme un goût de vécu lorsqu’on retourne chez notre mère. On avait un peu peur que les principales scènes soient dans la bande annonce. Même si les meilleures sont dedans, le film est très bon tout du long.
On se prend au jeu d’être Stéphanie (Alexandra Lamy) qui du jour au lendemain se retrouve sans mec, sans boulot à devoir retourner vive chez sa mère faut d’argent. Mais pour beaucoup d’entre nous, une semaine de Retour chez sa mère suffit à comprendre ce qu’elle vit.

On comprend aussi malheureusement les tensions entre frère et soeur. Parfois on ne sait plus si on rigole parce que c’est vraiment drôle ou parce qu’on rit jaune et que ça nous renvoie à notre vie.
C’est juste, pas surjoué (là où Alexandra Lamy nous avait déçu dans Jamais Le Premier Soir), on s’attache aux personnages, on les comprend. On passe un très bon moment.

Le premier teaser qui parlera à tout ceux qui ont du aider un jour quelqu’un qui n’y connait rien en informatique  

Le deuxième teaser du repas de famille

J’avais envie de mettre des coups de coude à ma mère qui bien sur n’était pas en projo presse avec moi. Vous l’aurez compris une bonne comédie française à voir en famille mais surtout avec ses parents.

A GAGNER : 5 invitations pour 2 personnes à voir le film au cinéma 

Pour les gagner il faut laisser un commentaire sur le site, être fan de la page Facebook et tirage au sort le 30 mai, histoire que vous receviez les places rapidement.

Sortie le 1er juin au cinéma.

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…souvent leur cinéma aussi. Après « Le vilain » il y a quelques semaines nous avons eu la chance de découvrir le 3 décembre en avant-premiere le film belge « La merditude des choses », en version Originale flamande, qui nous parle à nouveau des relations familliales.
Dans un registre totalement différent du film de Dupontel, « La Merditude des choses » nous raconte la vie marginale d’un garçon de 13 ans élevé dans une famille flamande bercée par l’alcool…

Ce film contrairement a beaucoup de blockbusters américains possède une bande-annonce peu vendeuse

Elle ne représente pas le film et elle ne donne pas envie de le voir, elle est beaucoup trop ennuyeuse et sans intérêt contrairement au film.

Heureusement, nous ne nous sommes pas arrêtées à la bande annonce

« La merditude des choses » (et non pas « la mertitude des choses » comme écrit sur le panneau digital du cinéma lors de la projection), c’est l’histoire de Gunther qui nous raconte à travers son livre, qu’il a écrit 15 ans plus tard, son enfance, sa mère qu’il l’a abandonné à la naissance, et récupéré par son père alcoolique.

Son père, facteur du village de « Truc muche les oies » faute de moyen, restera habiter chez sa mère avec ses 3 autres frères les Strobbes.
Le petit grandit alors dans les beuveries et malgré le manque d’argent, la bière coule à flot.
Sa chambre qu’il partage avec l’un de ses oncles, le cadet des 4, est le spectacle de multiples ébats sexuels.

Le petit garçon qui se sent différent de ses oncles et qui a envie de s’en sortir, va malgré des tentations, les réflexions de ses proches, et des tentatives de dissuasion de son père, essayer d’échapper comme il le pourra à ce milieu familial néfaste.

Ce film nous montre à nouveau mais dans le sens inverse du vilain comment on peut devenir quelqu’un de bien, s’en sortir et ne pas reproduire (totalement) le milieu dans lequel on a grandi.

Ce film n’est pas à recommander à toutes les âmes surtout les plus sensibles, certaines scènes peuvent choquer, même si beaucoup prêtent à rire.

La merditude des choses, une belle surprise, un bon moment qui donne à nouveau à réfléchir sur l’impact de notre éducation dans notre vie d’adulte.

Un film à aller voir idéalement juste avant l’apéro, histoire d’en discuter après autour d’une bonne bière.

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