Et voilà grâce à quelques chinois (plus de 500 tout de même) et quelques chercheurs, maintenant lorsqu’on vous demandera « Alors toujours célibataire ? » vous pourrez répondre « J’y peux rien, je suis porteuse d’un polymorphisme (C-1019G) du gène 5-HT1A ». Un conseil notez-le dans votre smartphone.

Si quelqu’un doute, pour argumenter vous pourrez faire référence à votre tante qui a toujours préféré sa liberté de célibataire ou encore votre cousine Aubépine que vous n’avez jamais vu en compagnie d’un homme (ni de femme d’ailleurs).

Plus précisément, ces fameux chercheurs chinois ont découvert que seulement 40% de ceux qui avaient ce polymorphisme G du gène 5-HT1A étaient en couple, ce qui représente 1,4% de différence par rapport à ceux qui ne l’avaient pas, et il paraîtrait que c’est statistiquement significatif.

Personnellement, si on compare 1,4% de salaire en plus c’est pas énorme mais bon si ils le disent.

L’étude a même établi que ce 1,4% n’était du qu’à ce seul gène, et non pas à d’autres facteurs socioéconomiques, croyances religieuses, laideurs et autres. 

Une petite étude qui il faut l’avouer ne prouve pas grand chose puisqu’elle a été faite sur de jeunes étudiants chinois (qui ne sont peut-être déjà pas dans l’état d’esprit de vouloir se caser) mais au moins qui vous permettra de répondre quelques chose à votre famille pendant le repas de Noël : « J’ai lu sur lesbridgets.com qu’un gêne serait à l’origine… »

Et si vous êtes vous même pas convaincus, il vous reste toujours la pertinente réponse de Bridget Jones.

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