Voilà une vraie question que des millions de parents doivent se poser chaque année « Qu’est-ce qu’un bon parent ? ». Et pour les voir improviser, lire des livres d’experts sur le sujet, en discuter c’est souvent de l’improvisation. Parfois il y en a certains où l’on aperçoit qu’ils ont du mal, d’autres pour qui c’est un peu plus aisé.

Mais la plupart des parents sont unanimes pour dire « On ne nait pas parent, on le devient. »

Le désir de maternité, d’enfants est un sujet vaste qu’on essaie d’aborder autant que possible.
Comme cette femme qui a voulu un enfant toute seule, celle qui en couple depuis 20 ans n’en veut pas ou encore celle qui congèle ses ovocytes (en Espagne !) par sécurité en attendant de trouver le bon.

On a majoritairement la chance de pouvoir choisir d’être parent à quelques exceptions près (futur papa non trouvé par exemple). Mais quand deux personnes s’aiment profondément, ne pourraient-elles pas simplement avoir les moyens de devenir parents ?
L’amour n’est-il pas une des bases primordiales pour élever un enfant dans un bon environnement ?

On vous laisse cette vidéo « qu’est-ce qu’un bon parent » pour vous en convaincre

Et après on aborde le sujet de la charge mentale ?

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Il y a quelques semaines, on a été invitées à voir en avant-premières deux films qui s’adressent particulièrement aux enfants à l’approche de Noël : Paddington et Astérix, Le Royaume des dieux.
Ce sont exactement les deux types de films que l’on pourrait aller voir au cinéma avec nos neveux en bas âges pendant les fêtes.
Comme on sait que tout comme nous quand vous les retrouvez votre temps (et votre portefeuille) vous ait compté, nous allons essayer de vous aider à trancher.

Paddington

Un joli conte anglais farfelu où un ours voyage dans un monde d’humains sans que ça dérange vraiment personne (là c’est notre naïveté d’enfants qui n’est vraiment plus là) mais avec une très bonne moral sur la différence.
L’ours Paddington est super attachant avec sa maladresse (c’est pas pour rien qu’il a été créé au pays de Bridget Jones).
Et pour ne rien gâcher, il a la voix de Guillaume Gallienne (Les Garçons et Guillaume à table) qui lui va à ravir.

La bande annonce de Paddington

Asterix et le domaine des dieux

Les fameux irréductibles gaulois que l’on ne présente plus mais cette fois-ci avec l’humour d’Alexandre Astier (Kaamelott) dans les dialogues.
On a beaucoup ri, passé un très bon moment. Il y a deux lectures qui feront rire petits et grands mais pas au même moment.
Il existe en 3D donc l’inconvénient c’est que si il ne le passe que dans cette version près de chez vous, vous payerez le prix fort mais vous serez une tata super génial aux yeux de vos neveux.

La bande-annonce d’Asterix Le domaine des dieux

Alors Asterix ou Paddington ?

Pour passer un bon moment de rigolade et faire connaître l’univers d’Asterix à votre neveu de 4 ans foncez sans hésiter voir l’histoire de Goscinny.
Si vos neveux, cousins (autres enfants dont on a osé vous confier la garde) sont un peu plus grands ils seront sûrement plus sensibles au gentil et touchant Paddington.
Difficile de vraiment trancher, le mieux serait d’aller voir les deux mais si vous n’avez pas le choix, on vous conseille Asterix et le domaine des dieux qui effectuait d’ailleurs le 5ème meilleur démarrage en tant que film français pour l’année 2014.
Ce qui est certain, c’est qu’il sera encore à l’affiche à Noël ce qui est moins sur pour Paddington.

Paddington en salle depuis le 3 décembre

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Si il y a bien une caractéristique qui manque à Bridget Jones pour que son profil se complète en anecdotes que peut vivre une trentenaire célibataire, c’est les enfants.
Que ce soit en tant que copine déjà maman, ou en tant que tata puisqu’elle n’a pas de frère et soeur, dans le film pas une seule fois elle ne côtoie vraiment les enfants. Et pourtant dieu sait que les opportunités cocasses ne manqueraient pas.

Alors on a imaginé (ou approximativement vécu) quelques situations si Bridget avait été tata comme notre trentenaire française célibataire  Clara Sheller ou alors qu’une de ses meilleures amies avait eu un enfant comme Miranda dans Sex and The City. 

D’abord, elle aurait porté le bébé à la maternité, et se serait rendue compte qu’elle n’etait pas plus adroite avec les enfants qu’avec beaucoup d’autres choses de sa vie.

Elle découvrirait d’un oeil extérieur et critiques tous les effets secondaires des grossesses de ses copines que Florence Foresti décrit formidablement bien dans son spectacle Mother Fucker.

Comme par exemple, le fameux plan Mappy qui se serait dessiné sur leur ancienne et magnifique poitrine.

Bridget rend visite à sa meilleure amie qui a accouché depuis quelques mois.
Ayant un rendez-vous galant un peu plus tard en début de soirée, elle porte son petit haut noir qu’elle adore.
Jouant avec le bébé, elle le fait monter et descendre à bout de bras alors qu’il vient à peine de prendre son biberon.
Malgré les éclats de rire à gorge déployée, l’estomac ne supportant pas trop les mouvements, il vomira soudainement le lait à peine digérer sur le haut léger et le visage fraîchement maquillé de Bridget.

Comme beaucoup de tatas, elle n’échapperait pas aux histoires à raconter avant de dormir.

Alors qu’ un soir, elle raconte des histoires qui finissent parfois avec « ils eurent beaucoup d’enfants ».
Quand son neveu ne lui demande pas « comment ils font pour faire beaucoup d’enfants ? », c’est sa nièce qui lui demande « Pourquoi tata, toi t’a pas encore de prince avec beaucoup d’enfants »
D’ailleurs pour les connaisseurs dans une scène du film « Les poupées russes », Audrey Tautou a trouvé une solution.
Lorsqu’elle raconte un conte de fée à son fils, elle le revisite avec un peu plus de réalité.

On imagine aussi très bien Bridget s’êtres pesée de bon matin et constater qu’elle a bien pris 2/3 kilos de trop et surtout au niveau de la ceinture.
Alors qu’elle chahute dans l’après-midi avec ses neveux, son pull se relève dans une roulade et elle entend une reflexion spontanée au sujet de son petit ventre rebondit « Tata ? toi aussi comme maman, tu vas bientôt avoir un bébé ? »

Finalement, elle oublierait sûrement vite toutes ces petites anecdotes quand elle viendrait de se faire brusquement larguer pas un Daniel Cleaver, et alors qu’elle aurait droit à un de ses nombreux câlins de réconfort auprès de sa petite nièce de 4 ans.
Elle entendrait la phrase qui suffirait à lui redonner le moral pour au moins 10 ans : « Tu sais tata, t’es la plus belle des tatas, moi je t’aime fort fort fort. Et si un homme, il te fait pleurer alors c’est qu’il est méchant et il faut l’oublier »

Qui a dit que la vérité sort de la bouche des enfants ?
Bon Bridget fera quand même un test de grossesse qui s’avèrera heureusement négatif.

NB: Si le Bridget Jones 3 a bien lieu (en stand by pour le moment), que les rumeurs concernant une grossesse de Bridget se confirme, et que le scénario tant compliqué à trouver s’avère efficace, il sera sûrement très bon de la voir dans son rôle de future maman.

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ndlr : Voici un argument pour ceux qui hésitent encore à avoir des enfants.

Les hommes sans enfant ont, à caractéristiques comparables, un risque de décès 1,3 fois plus élévé que les hommes ayant eu 2 enfants.

À âge donné, le risque de décéder des femmes n’est pas le même selon le nombre d’enfants qu’elles ont eus.
La mortalité féminine en fonction du nombre d’enfants a un risque minimum pour les femmes ayant eu 2 enfants.

Des explications biologiques et médicales sont souvent avancées :
Les femmes qui ont des problèmes de santé particuliers n’ont pas d’enfant ou peu ;
à l’inverse, la multiplication des grossesses fragiliserait l’état de santé des mères de famille nombreuse.

Par nature, elles ne valent pas pour les hommes, celle-ci s’avère même plus prononcée que pour les femmes.
Les hommes sont d’autant plus pénalisés qu’ils s’éloignent de la norme des 2 enfants.

À milieu social donné, l’effet du nombre d’enfants sur le risque de décéder pourrait refléter l’équilibre trouvé entre les coûts d’une descendance en termes d’efforts humains et financiers et ses bénéfices sur l’espérance de vie liés à des conduites moins risquées et à une meilleure intégration sociale.

Pour les personnes dont le conjoint est décédé, la nombre d’enfants ne dit rien du risque de décéder :
Ni chez les hommes, ni chez les femmes, il n’y a pas de différence significative du niveau de mortalité selon le nombre d’enfants.

Par contre, les effets d’une séparation sont très atténués chez les hommes mais plus marqués chez les femmes.
Cette sensibilité plus élevée de la mortalité féminine au nombre d’enfants pour les mères séparées pourrait résulter de leur plus grande proximité avec les enfants par rapport aux pères.

En effet, en cas de séparation des parents, les relations des enfants sont plus fortes avec celui avec qui ils ont ensuite vécu, la mère 8 fois sur 10.

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