Vous faites des rencards mais ça n’aboutit pas trop ou alors vous avez bientôt le premier et vous essayez de vous préparer au mieux. Même si on ne le rappellera jamais assez rester le plus naturelle possible c’est comme cela qu’il doit craquer, on sait aussi que beaucoup d’entre nous prennent plaisir à se maquiller et mettre en avant leurs atouts.

Voici donc le résultat d’une étude pour vous donner des pistes sur ce que les hommes regardent en premier chez une femme. On vous le donne en mille non ils ne regardent pas vos seins (enfin pas tous) en premier.

1. Les yeux

Ils regardent en premier pour la grande majorité vos yeux !

Ils sont 70% à déclarer que c’est ce qu’il regarde en premier quand il rencontre une femme, ce sont les yeux.
Et on les comprend, le regard d’une personne en dit beaucoup sur elle.
On peut customiser ses yeux avec un peu de mascara, ou encore du crayon et du fard à paupières.
Pour les moins habiles on peut aussi tenter le rehaussement de cils.

2. Le sourire

Ensuite votre sourire, un bon moyen de voir l’hygiène bucco-dentaire et anticiper le baiser ou non à venir.
Mais surtout de voir si vous serez raccord sur la joie de vivre au quotidien.

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3. Les seins

Puis il faut l’avouer voici les seins (la première partie du corps qu’ils regardent)

Il s’agit effectivement de la partie du corps qu’ils regardent en premier. En même temps si il n’aime pas les gros seins vous gagnerez du temps donc on n’arrête les complexes du petits seins, il en faut vraiment pour tous les goûts.

4. Les cheveux

La longue crinière qui volent au vent et/ou tombe sur les épaules. Ou la belle coupe courts structurée, les cheveux ont leur importance en séduction et pas étonnant que beaucoup d’entre nous instinctivement se passent souvent les mains dans les cheveux quand elles sont face à un homme qui leur plait.

Et pour vous donner la suite du classement, les hommes regardent ensuite le poids. C’est là que les grossophobes vont sûrement dire bye bye à leur date (mais c’est un mal pour un bien si si) sachez que beaucoup d’hommes aiment aussi les rondeurs.

Puis on trouve dans la suite du sondage : les jambes, la taille, les fesses et en tout dernier la peau. Comme quoi on focalise parfois sur notre popotin alors que vos beaux yeux font déjà une grosse partie du job.

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Comme dirait Meetic « Les Rencontres, elles se font partout mais surtout ailleurs » c’est à dire là où on s’y attend le moins. Instagram est le réseau de partages quotidiens de photos. En 2012, l’application a été achetée par Facebook pour un milliard de dollars.
Depuis elle n’a cessé de démontrer sa croissance. Aujourd’hui, les stars l’utilisent même pour court-circuiter les paparazzis. La plupart des peoples ont un compte.
Le selfie est légion et sur instagram on a plutôt tendance à montrer une version édulcorée de sa vie.

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Alors pas étonnant qu’au détour d’un hashtag (mot commençant par un # décrivant la photo) on tombe sur le compte de quelqu’un plutôt plaisant avec qui on aurait des affinités ou pas. Mais en tout cas avec qui, on aimerait bien échanger en dehors d’un écran.
Ce que Justin Bieber lui même n’a pas manqué de faire en décembre 2015 en draguant une nana au physique avantageux avec l’aide de ses fans.

Mais alors comment pouvons-nous faire des rencontres sur instagram ?

Depuis septembre 2015, on peut s’envoyer des messages textes privés. Auparavant, on ne pouvait s’envoyer que des photos ou vidéos en privé, cela rendait la chose plus fastidieuse.
Maintenant, n’importe qui peut vous envoyer un message privé.

Voici où se trouve les messages privés si vous en recevez un.

En haut à droite quand vous êtes entrain de regarder les photos de ceux que vous suivez

L’application reste avant tout superficielle puisqu’on enjolive sa vie. Mais vous n’êtes pas à l’abri comme le faible pourcentage de rencontres sur les sites de dating de rencontrer l’amour.

Comme l’exemple d’Erica Harris et Arte Vann qui est née grâce à leur passion commune pour la poésie partagée sur instagram.

Ils se sont mariés quelques secondes après s’être rencontré pour la première fois à l’aéroport international de l’Ontario (no comment).
Ces deux Américains passionnés de réseaux sociaux se sont rencontrés virtuellement grâce à Instagram, un an auparavant.

Arte Vann avait notamment posté un poème « Seven Deadly Sins » avec le hashtag #7deadlysins qu’Erica Harris avait repéré et commenté.
Peu à peu, la relation longue-distance 2.0 entre Erica et Arte a grandi au travers de poèmes d’amour, de chansons, de messages et de vidéos postées sur le réseau social.

Quant au statut du profil Instagram d’Erica Harris, il n’a pas tardé à être rapidement mis à jour : « mariée aujourd’hui à 7h30 à l’homme de mes rêves ». Leur histoire réelle ne ferait que commencer.

En attendant de trouver l’amour, vous pouvez me suivre sur instagram et le compte des Bridgets.

Pour des rencontres select de célibataires :  elite

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Cela fait quelques temps que je connais LesBridgets et je leur avais promis de contribuer de participer à leur aventure en écrivant un article. Ce qui me manquait, c’est bien évidemment le sujet.
Et il y en a un qui m’a longtemps travaillé. La peur. Du râteau.
Oui, cet infâme outil qu’on a récolté tellement souvent qu’on pourrait ouvrir un magasin de jardinage. Autrement appelé « veste », « se prendre un vent », « se faire rembarrer », « se manger un stop », etc.

Les synonymes sont nombreux.

Je ne suis pas un dragueur, je ne l’ai jamais été et je ne saurai comment faire.

A chaque fois que je m’y suis essayé, je me suis empêtré dans mes propres phrases, mes explications, mes mots. Je laisse donc cela aux autres. Ce n’est pas moi, c’est comme ça.
Ce que je suis, ou plutôt, ce que j’étais, c’est un grand timide sans grande confiance en lui.

Manquer de confiance en soi, cela n’empêche pas les choses d’arriver, jamais.
Mais cela peut en compliquer quelques-unes. Et cela vaut pour les hommes comme pour les femmes. Il y a un effet boomerang malsain en ce qui concerne le manque de confiance en soi.
A chaque échec, comme un râteau, celle-ci grandit et rend difficile les prochains efforts. C’est exponentiel.
Cela est triste à dire mais c’est ainsi.

On se prépare bien pour les entretiens d’embauche. Pourquoi pas pour rencontrer quelqu’un ?

Je l’ai compris tardivement. A cette époque, j’étais amoureux d’une amie. Mais je n’ai jamais osé lui dire.
Je la trouvais belle, intelligente, drôle et charmante.
Je l’avais connu en couple mais cela n’a pas duré. Elle était donc célibataire pendant une longue période.
Pourtant j’ai toujours eu peur d’afficher les choses et de me prendre ce fameux « râteau ».

Je n’avais en tête que les conséquences, car je partais vaincu. J’avais peur que cela ne casse notre relation.
Je n’arrivais pas à avoir un minimum de confiance pour imaginer les côtés positifs, le « et si elle aussi ». Donc je n’ai jamais rien tenté et je l’ai laissé sortir avec un autre homme. Je l’ai longtemps regretté.

Elle est devenue maman, à son plus grand bonheur. Moi, j’ai vécu ma vie de mon côté.
J’ai revu cette jeune femme 3 ans plus tard lors d’une soirée, un poil arrosé. Et là, sans trop savoir comment, j’ai découvert que je n’aurai jamais pris ce râteau.
Elle avait les mêmes sentiments que moi et avait également la même peur du refus et du changement de notre relation. Elle avait espéré longtemps… Elle l’a regretté aussi pendant un certain temps mais était passé à autre chose.

Mon regret était devenu un remord. Le fait de ne pas avoir osé.

Cette histoire m’a permis de faire le point. Le mec avec qui elle a eu sa fille, cela aurait pu être moi. Je ne sais pas, et je ne saurai jamais ce que cela aurait donné mais je me dis qu’il était stupide de laisser passer de telles occasions simplement parce que j’avais peur d’essuyer un refus.
Je ne voulais plus de ces satanés remords. J’ai commencé à lire, beaucoup. Des romans, des biographies, des récits de voyages, etc.
Même si tous sont assez romancés, je me suis rendu compte que les gens qui ont eu une vie, une vraie, ont tenté les choses, et ont souvent rencontré des échecs. Une fois, deux fois… Mais ont souvent réussi à un moment ou à un autre.

Leurs échecs étaient souvent une préparation légitime à leur réussite. J’avais de moins en moins envie de laisser passer une autre occasion. Je voulais être prêt.

J’ai changé ma façon de sortir.

Moi qui restais auparavant systématiquement avec mes amis, j’ai commencé à me « balader » quasiment systématiquement dans les endroits où nous allions.
Je faisais un simple tour du lieu pour voir si des personnes me plaisaient.
Au départ, je ne leur parlais pas, je n’osais pas. Je passais juste à côté, je faisais un sourire.
Parfois, j’obtenais un joli sourire en retour, des fois non.
Une fois mon tour fini, je revenais m’asseoir avec mes amis, qui, souvent, ne s’étaient rendu compte de rien.

Au fur et à mesure du temps, je partais de plus en plus longtemps.

Mes amis s’y étaient habitués. Je commençais à parler aux inconnus, hommes ou femmes.

Souvent des groupes de personnes car c’est plus simple à aborder : il n’y a pas de tête à tête qui pourrait se révéler gênant. « Que fêtez-vous ? », « Vous travaillez tous au même endroit ? », « vous venez souvent ici ? Moi, c’est la première fois (même si ce n’était pas vrai^^) ».

Sur le groupe, il y a toujours une ou deux personnes au contact facile qui répondent et présentent les autres.

Et si personne ne répond, ce n’est pas grave : on continue un peu plus loin.

Je savais dans les deux premières minutes si j’avais quelques « atomes crochus » avec les personnes, mais, même si je ne les avais pas, je restais un peu, histoire de discuter, de prendre l’habitude d’être avec des personnes que je ne connaissais pas.
Ces discussions pouvaient durer quelques minutes comme des soirées entières.

En parallèle, j’ai décidé de travailler mon comportement en soirée chez les gens.

J’avais longtemps refusé d’aller dans les soirées où je ne connaissais personnes car je ne voulais pas faire d’ « efforts ».
J’ai décidé de me donner comme défi d’y aller et de parler à quelques personnes.
Dans le pire des cas, j’aurai passé 2 heures à regarder le plafond, boire des bières et grignoter des Curly.
Cela n’était pas facile au départ mais j’en ai eu marre de rester dans mon coin.

Un soir, j’étais invité à l’anniversaire d’une amie de mon pote.
Sur une trentaine d’invités, je connaissais juste 2 ou 3 personnes. J’ai très vite senti que tous se connaissaient depuis longtemps et que j’allais vraiment être seul si je ne faisais pas quelque chose.

Je suis donc allé voir le plus grand groupe et j’ai été assez direct :

« bonjour, je suis désolé de couper cette conversation, mais je ne connais personne ce soir et si je ne fais rien je vais passer la soirée dans mon coin à ne rien faire. Donc me voilà ».

Ça en a fait rire quelques-uns et nous avons discuté toute la soirée. Qui fut d’ailleurs très sympathique.

Depuis ce soir-là, j’essaye de systématiser cette démarche quand je ne connais personne. Je ne le fais pas par contre quand je suis fatigué car cela demande pas mal d’énergie.
Je me suis rendu compte qu’informer les gens qu’on ne connait personne et qu’on a envie de discuter avec eux permet de les détendre et de nous faire remarquer.
Et cela permet d’inclure les autres « timides » qui viendront souvent vous remercier.

Soyons clair, cela ne marche pas avec tout le monde mais, proportionnellement, il y en a toujours certains qui aiment parler à de nouvelles personnes.
On tombe également des fois sur quelques gros lourds, mais c’est le tribu à payer.
On apprend par la même occasion les techniques pour s’échapper discrètement de ces personnes, mais ça, c’est une autre histoire :).

D’autres fois, on tombe sur des charmantes rencontres qui peuvent se transformer en « plus si affinités ».

Au fur et à mesure, j’ai pris de plus en plus confiance en moi en travaillant le fait d’aller aborder les gens sans arrière-pensée.

Puis j’ai commencé à travailler un autre point : aborder les femmes.

Je ne voulais plus avoir peur d’aborder une femme, aussi belle et charmante qu’elle soit.
Au départ, j’attendais d’avoir assez bu pour que ma timidité tombe. Mais bon, pour être franc, il n’est pas facile de faire bonne impression en titubant et ayant une patate dans la bouche.

Mais cet état avait un avantage (oui, je l’assume): on se mange pas mal de râteau et on commence à s’y habituer.

Les premières hontes s’éloignent, on se rend compte que ce n’est finalement pas si méchant.

On comprend qu’on se prend ces râteaux car personne ne voudrait discuter/sortir avec quelqu’un qui est plus beurré qu’un petit Lu, qui ne fait pas envie de discuter avec lui.
Ce n’est pas nous : c’est notre état qui provoque le râteau.
J’ai donc commencé à y aller sans beaucoup boire. Bien évidemment, on se prend toujours des vestes, de quoi se faire un beau dressing, mais un peu moins souvent.
On se retrouve à discuter avec des femmes en parlant de tout et de rien, même si elles ne sont pas intéressés par notre petite personne.
Je tiens à préciser que je n’allais pas forcément voir des femmes qui me plaisaient. Je voulais juste travailler mon approche et ma confiance en moi.

Au fur et à mesure, j’étais de plus en plus détendu dans mes échanges avec le sexe opposée.

Et cela se voyait puisqu’à quelques occasions, je n’avais pas besoin de faire le premier pas. Loin de moi l’envie de juger les gens : je suis juste persuadé qu’aborder quelqu’un nécessite une certaine aisance, dans son attitude et dans son expression. Au même titre qu’un entretien d’embauche.
Si tu n’aies pas préparé correctement, tu n’auras pas le job de tes rêves.

Je suis conscient que cette analogie est un peu dure mais c’est ma vision des choses. J’ai déjà passé de plusieurs entretiens pour des boulots qui m’intéressaient. Et quand je n’ai pas été pris, je n’ai jamais eu de regret si je m’étais bien préparé.
J’en ai eu seulement quand je suis arrivé les mains dans les poches, manquant de confiance en moi.

En conclusion, il n’est pas insurmontable de prendre un peu de confiance en soi.

Les premiers étapes sont souvent les plus difficiles à passer mais je vous le promets : cela vaut le coup.
Essayez juste de vous donner des petits défis progressifs : sourire à quelqu’un dans un bar ou dans le métro (oui, même à Paris c’est possible), d’aller parler à des personnes que vous ne connaissez pas (et qui ne vous intéresse pas physiquement forcément), d’aborder la parole à quelqu’un dans le bus, etc.
Progressivement, vous sentirez moins de « peur » face au sexe opposée et vous vous surprendrez à proposer votre numéro de portable, de lancer une invitation pour un café le lendemain d’une soirée, ou bien offrir un verre à quelqu’un qui vous plait.

Le râteau est un outil. De jardinage oui, mais aussi de confiance en soi.

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Il existe moults techniques de dragues que des hommes appliquent scrupuleusement pour enchaîner les nanas.
Pour certains c’est inné alors que d’autres ne prennent même pas le temps de lire un livre ou les conseils qu’ils peuvent trouver sur internet et improvisent des « techniques » véritablement de relou.
Nous allons parlé ici d’un cas bien précis croisé depuis quelques années par plusieurs des Bridgets et qui sait peut-être aussi par l’une d’entre vous. Il frôle le harcèlement. Voici comment il opère.

Il n’a pas de critères précis, ce qui est baisable il prend

Que tu sois blonde, brune, petite, grande, jeune, plus âgées, avec des petits ou des gros seins ça ne change rien.
Tout commence le jour où il te croise.

Il s’arrange pour trouver ton facebook ou ton twitter car il est quelqu’un de très connecté et souvent trouve ses proies dans ces endroits là.
Toi tu ne te rappelles pas très bien de lui parce qu’il passe un peu inaperçu du haut de son 1m70.
Mais comme vous avez pas mal d’amis en commun, tu rentres en contact avec lui et il finit par te rappeler où il t’a aperçu. Et ça te dit vaguement quelques chose.

Sur son profil facebook, tu vois qu’il est en couple

Les dernières photos de son voyage en « amoureux », des flûtes de champagne avec les clés du dernier appartement qu’ils viennent de se trouver ou encore du petit chiot mais au moins les choses sont claires, t’es au courant.
Il a une nana.
Sans aucun scrupule alors que tu peux cliquer sur le profil de sa copine, il va constamment t’interpeler par des messages sortis de nulle part : « J’ai envie de toi« , « Ce matin quand j’ai pris ma douche, j’ai pensé à toi » comme ce n’est pas convaincant il va t’envoyer des sous-extraits de 50 nuances de Grey accompagnés de Gif « érotiques » et ça ne marche toujours pas.

Des semaines, des mois vont passer

Et puis sporadiquement, il va revenir « Je suis tout seul au bureau, je pense à toi » Les 3/4 du temps tu ne réponds pas mais il revient.
Puis un jour il te demande ton email pour t’envoyer un truc.

Et là tu reçois un espèce de sexmail de lui, allongé sur son canapé avec la main dans son boxer.
Et ça c’est quand tu es chanceuse car pour d’autres il enverra la version sans le caleçon.
Tu crois rêver puis tu regardes bien le mail, il a mis une autre adresse en copie avec un prénom de fille, tu décides donc de la contacter.

Cette nana qui a une vingtaine d’années explique qu’elle a croisé Mr Spam lors d’un de ses déplacements pro dans l’ouest de la France il y a deux ans. Qu’ils ont couché ensemble et qu’elle ne comprend pas très bien pourquoi il lui envoie ça aujourd’hui surtout qu’il est casé.

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Tu le supprimes de Facebook

Chose que tu aurais du faire depuis bien longtemps. Puis « à peine » 3 ans après, il trouve le moyen de te recontacter pour revenir avec, à quelques chose près, la même technique.

C’est ce jour là que tu décides de regarder vos amis communs sur Facebook, il y a en a plein de jolies célibataires que tu connais bien. Tu leurs poses naturellement la question « Comment tu connais Mr Spam ?« .
Et là naturellement « Haaa mais c’est une longue histoire avec ce mec »
Tu lui tends une perche et là tu commences à comparer vos sms.

Le mec fait donc des publipostages comme une bonne campagne de mailing pourrie et intrusive de badoo.

On est franchement halluciné qu’un mec (en couple) prennent autant de temps, et d’énergie pour au final ne pas convertir. (ouais c’est comme ça que parle les gros séducteurs)
Enfin on doit dire que si, parmi les 4 ou 5 femmes sollicitées connues, une a fini par céder pour voir ce qu’il se cachait derrière cet appétit et sans surprise vraiment pas grand chose.

Conclusion

Un mec qui t’a juste aperçu à une soirée sans te parler ne peut pas se mettre à fantasmer AUTANT sur toi (même si cela pourrait te paraître flatteur au début) ou alors il a un problème.
Si il commence à te parler de masturbation et autres choses de ce genre qui manquent définitivement de tacts. Respecte toi et dégage-le. Voir si il ne comprend pas tu peux le balancer pour harcèlement.
Un mec qui pendant des mois voir un an ne lâche rien sans que tu ne lui aies jamais rien promis, ça sent le mec pas très équilibré.
Bref si tu l’aurais pas compris, fuis.

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Plusieurs jours que la chanson Vivant de Ben Mazué trotte dans ma tête. Aujourd’hui dimanche je prends enfin le temps de regarder à nouveau son clip et j’en découvre 3 autres diffusés pendant que j’étais dans les transferts d’aéroports aux Etats-Unis en septembre.
Deux clips poétiques et touchants, que j’ai déjà pris plaisir à regarder et entendre plusieurs fois.

Le premier est celui de la chanson 35 ans

L’histoire pas très gai mais jolie d’une vraie parisienne célibataire

Extrait des belles paroles :
« T’aurais voulu qu’il te ramène. T’aurais voulu mais ça n’a pas suffit. 
Pour le coup être célibataire ça va.
ça te dérange pas tant que ça. 
L’amour qui fait les couples devient toujours l’amour qui ne fait plus l’amour.
Et ça c’est pas mieux que toi »

Le deuxième : 25 ans

La vision d’un beau gosse de 25 ans qui se fait draguer par cette femme de 35 ans dans un appartement. Les mots sont justes et doux comme Ben Mazué.

Extrait des paroles :

« En soirée appart, y’a deux types de dragueuses. Celles des salons les danseuses et celles des cuisines et des balcons.
Les Parleuses »

« Elle connait tout le monde,
a quelques rides vagabondes,
le corps joliment dessiné,
elle est bien habillée… »

C’était ma bonne découverte du dimanche à partager et définitivement le monde musical de Ben Mazué est très beau.

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Après vous avoir parlé de ma rencontre à Manhattan presque digne d’une comédie romantique, de la leçon de drague d’une New yorkaise dans le métro, il est temps de vous en dire un peu plus sur le fameux American Dating que j’ai testé pendant 3 mois aux Etats-Unis.
Alors souvent quand j’en parle autour de moi avec des français, on me répond « Le quoi ? » et on me demande d’expliquer.

Parce que oui, lorsqu’on regarde des épisodes de Sex and The City, certaines choses nous ont échappé.

En effet, il existe un certain rituel avec les américains lorsqu’on décide d’avoir une relation sérieuse.

Les relations s’effectuent la plupart du temps en plusieurs étapes bien définies

Imaginons le beau brun musclé assis à coté de vous au restaurant, ou un autre qui vient vous parler dans le métro et vous laisse son numéro de téléphone que vous acceptez de revoir.
Là commence l’American Dating, plusieurs dates (rendez-vous) vont s’enchainer où il faut souvent redoubler d’imagination.

Jusqu’ici direz-vous rien de trop différent avec les français. La différence avec les français est le côté « entretien d’embauche » des dates.

L’américain et encore plus le new yorkais, a en moyenne une à deux semaines maximum de vacances par an, on comprend alors que son temps est extrêmement compté.
Donc quand il vous accorde de son temps, il faut que cela vaille la peine.

Comme cet homme de 31 ans dans la finance près de Washington Square qui m’a posé des questions sorties tout droit d’un tableau excel avec cette impression qu’il calculait un facteur risque à la fin.
Forcément française de passage pour 3 mois sans visa travail, j’en étais un gros.

Imaginons vous arrivez à passer le test du fichier excel alors s’en suivront d’autres dates plus ou moins farfelues selon les moyens de monsieur. (Ballade à vélo dans Central Park, diner sur un sublime rooftop privatif).
Ce n’est pas pour rien que le budget d’une date à New York est à plus de 185$ en moyenne.

Et peut-être qu’arrivera le temps du premier baiser et même celui de coucher ensemble. Il se peut que cela vous paraissent un peu long à arriver contrairement à un français.
Là si vous vous revoyez, qu’il continue de vous emmener en week-end, vous propose de rencontrer ses amis et collègues vous êtes en bonne française en droit de vous dire que vous êtes officiellement avec lui.

Et bien il n’en est point. Au Etats-Unis, il y a « The Talk ».

Ce moment (souvent provoqué par la nana), qui peut arriver au bout d’un mois (mais vous prenez le risque de le faire fuir avant qu’il ne s’accroche) et parfois après 6 mois.

J’en avais discuté avec une gentille vendeuse dans un joli magasin de robes vintages à Brooklyn. Elle m’a confirmé comme beaucoup d’autres, ce passage obligatoire où tu dois te dire de vive voix « Nous sommes exclusivement ensemble » traduction « T’arrêtes d’aller voir ailleurs ».
Cela faisait des mois qu’elle était avec son copain et elle en avait marre de se dire qu’il pouvait coucher avec d’autres filles. Elle, ça faisait bien longtemps qu’elle ne voyait que par lui.

Certains diront que c’est l’équivalent du « Je t’aime » en France ? Je ne crois pas, il y a parfois des gestes et regards qui en disent plus long.

Puis il y a ce charmant newyorkais de 37 ans qui me confirmait avec son sourire en coin : « Moi je vais toujours jusqu’à « the Talk » et je dis que je ne veux pas de relation exclusive. Il y a trop de choix à New York, tu penses toujours que la prochaine va être mieux avec un plus beau sourire, des plus beaux seins. Alors je préfère ne pas choisir »

Oui c’est un peu malheureux mais il y en a aussi qui pensent comme ça en France.

On découvre alors que là où nous pouvons avoir une réputation de « latin lover », d’infidèles avec notre fameux DSK ou encore plus récemment notre cher président avec Julie Gayet. Eux s’autorisent un libertinage consenti dans les débuts de relation ?

Beaucoup d’expatriés français hommes et femmes confondus m’ont avoué avoir baissé les bras en matière de relations amoureuses avec les américains.

Quand des français sont plutôt lassés de la superficialité des discussions avec certaines américaines, des françaises me disaient avoir arrêté d’essayer de comprendre ce maudit American Dating et viser d’autres expats (majoritairement européens) pour trouver l’amour.

On en voit déjà venir en disant mais ça c’était avant Tinder. Oui si tu veux un coup d’un soir d’assuré tu n’as pas besoin de faire tout ça mais lorsque tu veux une vraie histoire (paroles d’expatriés français) ça devient plus compliqué. L’américain serait-il définitivement fidèle, une fois marié ou le « The Talk » passé ?

Explication juste de l’american dating en anglais par une française

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Après ma rencontre à Manhattan presque digne d’une comédie romantique, il est temps de vous raconter un peu de ses 3 mois aux US et en grande partie à New York.
Tellement à dire, sur ma grande déception dans la grosse pomme en matière de relation homme/femme et séduction qui ont, il faut l’avouer pas grand chose avoir avec les épisodes de Sex and the City.
Tout comme j’avais pu le constater lors de mon voyage au Québec il y a plus de 4 ans, de l’autre côté de l’Atlantique les femmes ont pris le pouvoir enfin pour sur les hommes se font discrets.
Alors vu le fort taux de femmes célibataires, elles sont bien obligées de prendre le taureau par les cornes si elles veulent rencontrer quelqu’un.

C’est comme ça qu’après quelques semaines de quotidien à prendre le métro tous les jours entre Brooklyn et Manhattan que j’ai eu droit à une leçon de drague par une newyorkaise. 

Aux alentours de 22H00, déjà quelques stations que je suis assise dans la rame du métro de la ligne B direction Prospect Park. Comme toujours j’observe, j’analyse, j’aime m’imaginer et interpréter qui sont ces gens, d’où ils viennent.

Une femme et un homme même pas la trentaine rentrent dans mon wagon.

Ils ne sont pas ensemble. Ils s’appuient de chaque côté de la porte.
Lui a l’air exténué, voir limite un peu ivre (retour d’un happy hour ?).
Elle, les yeux grands ouverts n’arrêtent pas de le fixer. Elle est blonde, elle n’a pas le physique de la fille sur qui on se retourne mais elle n’en est pas moins agréable.

Lui le trentenaire, svelte, brun aux yeux bleus. A peine posé contre la porte, Il ferme les yeux quelques minutes pour les réouvrir au prochain arrêt juste pour voir quelle est la station.
Elle en profite alors pour croiser son regard et lui lance naturellement « Excuse moi t’as l’air exténué et j’ai quelques gâteaux frais dans mon sac de la pâtisserie où je travaille. Tu en veux un ? »

Le mec tout d’abord surpris l’a fait répétée. Puis visiblement un peu gêné, fini par accepter.

Elle sort alors de son sac à main un petit sac en papier brun, elle lui tend. Il prend le premier du haut du sac, un muffin aux fruits rouges.
Il l’a remercie plusieurs fois et il est visiblement très agréablement surpris. Il garde cependant l’air toujours aussi fatigué. Il commence à manger le muffin.

Pendant qu’il a la bouche pleine, elle en profite donc pour lui parler un peu d’elle (s’en suit un monologue de plusieurs minutes où il hoche la tête tout en mangeant son gâteau). J’arrive à entendre quelques bribes.

Elle lui explique qu’ils sont fait de ce matin et en profite pour lui donner le nom de la pâtisserie et où se trouve la boutique dans Manhattan (au cas où il voudrait la revoir). Il termine le gâteau.
Elle lui demande où il s’arrête. Ils parlent de son quartier, qu’elle connait. Et même qu’elle a une copine qui vit pas loin. De discussions en discussions, il finit par lui donner sa carte de visite.

C’est son arrêt, ils se font un hug et il descend en même temps que moi.

Sur le chemin, curieuse il me traverse l’esprit de lui demander si il était vraiment intéressé ou si c’était simplement friendly comme beaucoup de relations aux Etats Unis. Mais ça me regarde pas et je réalise surtout qu’en quelques semaines mon niveau d’anglais a sacrément progressé.

Messieurs les français, auriez-vous accepté les gâteaux dans une telle situation.
Alors les filles prêtes à avoir toujours des petits pains au chocolat dans votre sac à main ?

Après discussions avec plusieurs newyorkais, chez eux la drague dans le subway par des femmes n’est pas quelques chose de rare.

Allez je vous laisse avec cette chanson de Joe Dassin, Les Petits Pains au chocolat de 1969 qui est de circonstance

Dans le même sujet à voir cette discussion avec Maia Mazaurette sur la différence de drague entre les français et les américains

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Si vous ne le saviez pas encore, le rouge est une des couleurs si ce n’est pas LA plus attirante des couleurs en séduction. Une étude arrivée tout droit d’Autriche vient à nouveau de le confirmer.
Tout comme le matador qui remue sa muleta rouge pour attirer le taureau pendant les corridas. (ça c’est pour le passage culturel, on a fait quelques recherches).

Lorsque vous portez cette couleur en soirée sachez que « les hommes perçoivent les femmes en rouge comme plus ouvertes et intéressées par des rencontres sexuelles. »

La preuve en est (même si le modèle n’y est surement pas pour rien) une des robes qui a le plus marqué aux Oscars dimanche soir est celle de Nathalie Portman. Et perso, c’est aussi notre préférée.

Cette dernière étude effectuée seulement sur 96 hommes  vient confirmer une précedente datant de 2008 faite par les psychologues Daniela Nesta et Andrew Elliot qui nous informaient que le rouge rend les femmes plus attirantes aux yeux des hommes et les fait tomber plus vite amoureux.
N’oublions pas de préciser que l’effet rouge est sensible pour les hommes seulement (les femmes testées ne jugent pas les autres femmes plus attractives).

Si l’on cherche des explications chez les primates et autres animaux, un grand nombre de femelles montrent une coloration rouge sur la face, la poitrine, le périnée ou la vulve lorsqu’elles sont en phase ovulatoire. Cette pigmentation est due au déséquilibre entre œstrogène et progestérone, entraînant une vascularisation accentuée en phase fertile.
Des signaux que les mâles détectent rapidement, pour choisir la future mère de leurs progénitures.

Pour ces messieurs qui douteraient de cet effet sur eux, vous n’êtes absolument pas conscients du rôle de la couleur dans votre jugement.

Mesdemoiselles, vous l’aurez donc compris comme la petite robe noire passe partout, il vous faut maintenant la petite robe rouge séduction.

Pour info, à l’inverse les couleurs anti-romantiques seraient : le gris, le vert et le bleu vif.

Source Le Figaro

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Voilà un sujet que l’on n’avait encore pas pris le temps de traiter, beaucoup d’entre vous se reconnaitront et doivent voir tout de suite de quoi on veut parler.
Appelé aussi Friend Zone, ce syndrome s’applique tout aussi bien aux hommes qu’aux nanas qui ont souvent entendu le fameux: « Je ne veux pas perdre notre amitié, je préfère qu’on reste amis« .

Comment savoir si vous êtes victime du syndrome de la bonne copine / bon copain ?

Pas très difficile, il suffit de faire le bilan dans vos amis, si vous avez beaucoup d’ami(e)s /confident(e)s du sexe opposé alors il y a de fortes chances pour que vous en soyez victime.

Il arrive que le feeling passe plus que bien avec une personne du sexe opposé, vous ayez beaucoup de choses à vous dire, ce qui est bon signe.
Vous apprenez à connaître l’autre, vous vous dites au bout de quelques semaines, voire quelques jours de discussion, que c’est plutôt sympa d’avoir autant d’accroches avec le sexe opposé, et ça peut commencer à vous picoter le cerveau.

C’est alors que vous regardez l’autre différemment (parfois cela peut arriver dés le départ de la rencontre mais bien souvent non), donc vous commencez enfin à le ou la voir comme un éventuel « PLUS qu’ami ».

Mais voilà il arrive souvent que la barrière du « trop ami » soit dépassée, c’est-à-dire que vous êtes rentrée dans la Friend Zone l’autre ne vous voit plus du tout comme un éventuel partenaire, mais plus comme un confident (soit un membre du même sexe) et plus du tout comme une éventuelle conquête.

Certes vous vous dites que dans le pays merveilleux des Bisounours, il n’est pas très fréquent de croiser des personnes avec qui le courant passe aussi bien, et que quand l’autre vous plait physiquement, il y aurait moyen de faire une chouette histoire, non?
Mais souvent pas l’autre qui est en face.

A écouter cet épisode du podcast Ils Se Confient où Lucas parle de comment ils se retrouvent toujours dans la FriendZone

Comment devient-on le bon copain?

En se confiant et en devenant le confident de l’autre, et en étant trop gentil beaucoup trop gentil.

Devenir le confident rentrer dans le Friend Zone c’est mettre une barrière pour une éventuelle relation amoureuse.

Oui on sait on n’a pas envie de devenir un gros connard qui ne se livre pas mais voilà il paraitrait que dans la séduction il faut garder un peu de mystère, c’est un jeu.
Il faut savoir ne pas être trop disponible et ne pas dire oui à tout (on le sait c’est difficile quand on a vraiment des points communs avec l’autre et qu’on est d’accord sur beaucoup de choses)

Pourquoi l’autre nous voit comme une bonne copine/bon copain ?

Certains hommes nous ont déjà confié avoir peu ou pas d’amies filles…(certains disent même que les ami(e)s de sexe opposé sont souvent les moches?)
Inversement, d’autres ont plein de copines filles et rarement de petites copines parce qu’elles préfèrent se pencher sur les mystérieux, inaccessibles, qui les dénigrent.
Ben ouais le mec trop gentil ou la nana trop gentille ce n’est pas sexy.

L’autre peut aussi décider de vous garder en bonne copine parce qu’il doute, ne sait pas ce qu’il veut, sait au fond de lui qu’il ne veut pas s’engager, qu’il veut encore profiter, et qu’il vous apprécie et ne préfère rien tenter plutôt que de tout perdre (votre amitié).

Pour éviter ces situations plutôt tordues et compliquées à gérer, la solution aujourd’hui pour beaucoup, reste le confident gay enfin surtout chez les nanas (au moins on est sûr qu’il n’y a aucune ambiguïté et qu’on peut tout lui raconter).

Comment passer du stade de l’amitié à l’amour?

Il est important de faire le point sur vos véritables attentes, les coeurs d’artichaut en mal d’affection ont parfois tendance à s’enflammer pour leur meilleur(e) ami(e) car celui-ci est accessible, sécurisant, et surtout parce qu’il est là au bon moment.

Avoir de la tendresse pour quelqu’un ce n’est pas la même chose que d’en être amoureux… Tenter quelque chose quand on n’est pas sûr de soi, voilà le meilleur moyen de détruire une amitié !
Dans un second temps, il est nécessaire d’éprouver le degré d’attachement de votre meilleur ami avant de tenter quoi que ce soit avec lui.

L’amitié, même sincère et construite, ne peut pas remplacer les sentiments amoureux. En plus de la bonne entente, il doit y avoir un désir réciproque entre vous.
Pour savoir s’il est attiré, ou si éventuellement, vous seriez son genre de femme/homme, il faut ruser :
Demandez-lui :

• Quel genre de femme il recherche?
• Quel type de relations il souhaiterait (engagé, romantique, passionné, paisible…)?
• et s’il y a des critères qui le rebuteraient totalement…

Mais rassurez-vous si vous êtes victimes de ce syndrome, il semblerait qu’avec l’âge les hommes et les femmes, après avoir essuyé pas mal d’histoires foireuses avec des connasses et des connards, finissent par comprendre que s’ils veulent une belle et chouette histoire d’amour, il faut ouvrir les yeux et regarder le bonheur qui est juste à coté d’eux… (spéciale dédicace à Marie ).

Mais cet article vient lancer un autre sujet « L’amitié entre homme et femme existe-t-elle? »

A retenir : Devenir le confident c’est mettre une barrière pour une éventuelle relation amoureuse. Il ne faut pas rentrer dans ce jeu là, mais il faut surtout paraître sûr de soi, et assumer ses goûts et ses choix pour plaire.

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Après les hôtesses qui se font passer pour des femmes à la recherche d’ hommes sur des sites de rencontres, les russes ont inventés un logiciel capable de simuler un homme ou une femme en ligne. Est-ce que l’avenir des sites de rencontres en dépend?

Avis aux romantiques et autres adeptes des sites de rencontres, méfiez-vous : votre prochaine rencontre en ligne pourrait n’être qu’une froide expérience avec un programme informatique et non un élan de passion humaine.

« Une tentative automatisée d’extorsion de renseignements personnels et non de ravissement de votre cœur » prévient une firme de sécurité en ligne.

Un site Web russe appelé CyberLover.ru fait la promotion d’un outil informatique qui, promet-on, peut simuler le flirt en ligne.

Il affirme que le programme peut tenir jusqu’à 10 discussions simultanées avec des femmes sur des sites de rencontres en ligne et à ainsi persuader celles-ci de fournir leur numéro de téléphone.

ndlr : En russie, le test a été effectué sur des femmes car c’est elles qui sont le plus à la recherche d’hommes.

Le risque

Une firme de logiciels antivirus australienne, PC Tools, juge que le programme pourrait facilement être trafiqué par des fraudeurs pour se lancer à la récolte de renseignements personnels en ligne.
Le site russe soutient que le programme n’a pas été conçu à des fins d’usurpation d’identité.

Le programme, pour l’instant offert uniquement en russe, sera lancé autour du 15 février prochain, juste après la Saint-Valentin, annonce le site CyberLover.

«Pas une seule femme n’a réalisé qu’elle ne communiquait qu’avec un programme!» vante le site, ajoutant que l’outil pouvait également simuler des activités sexuelles virtuelles en ligne.

«Ça existe enfin – un programme pour draguer les filles sur Internet !» clame le site.

«En à peine une 1/2 heure, le programme CyberLover vous présentera des filles, échangera des photos et vous livrera peut-être même des numéros de téléphone», peut-on y lire.

Le site CyberLover explique que les paramètres du programme peuvent être réglés de façon à attirer des hommes ou à persuader les gens de visiter un site Web, par exemple, et que les données recueillies seront enregistrées.

Peut leurrer les interlocuteurs

Selon un porte-parole de PC Tools, le programme russe est capable d’un niveau d’interaction «d’une organisation à faire frémir» qui peut aisément inciter des interlocuteurs à fournir des renseignements personnels. Il serait également facile de le convertir pour travailler dans d’autres langues que le russe.

«Le programme déploie des techniques de dialogue hautement sophistiquées et personnalisées, ce qui lui permet de cibler efficacement les utilisateurs de réseaux sociaux en ligne.»

Les capacités du programme

Selon l’analyste, le programme «peut faire le suivi des activités en ligne d’une personne, reconnaître et remplir automatiquement les champs d’entrée de données d’une page Web, générer des frappes de clavier et des clics de souris, publier des messages, des liens, des fichiers et des photos.»

«Le programme peut reproduire dans les moindres détails ce que fait d’ordinaire un internaute lorsque celui-ci est en ligne, seulement d’une façon automatisée et préprogrammée.»

Le site CyberLover affirme que le programme ne fait rien de répréhensible, rappelant qu’il ne recueille que des données fournies de leur plein gré par ses interlocuteurs virtuels.

Avis des Bridgets

La technologie nous dépasse vraiment de jour en jour. Cela me confirme vraiment que rien ne remplace une rencontre physique dans la rue, dans un bar, au travail… ça coute surtout moins cher.
Je me demande tout de même si  c’est info n’est pas juste un bon coup de pub ?

De sur soyez prudent et méfier vous de qui se cache derrière le clavier, tout est possible!

Source : www2.canoe.com

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