20 juillet 2019
Chose promise, chose due, nous avons testé les bals des pompiers de Paris 2009. Enfin un seul parce qu’impossible de les faire tous tellement il y a de file d’attente, surtout pour les plus courtisés comme ceux de Champerret, Bastille, Port Royal ou encore rue de Sevigné.
Voici donc notre avis sur ce rassemblement national qui anime les arrondissements de Paris chaque 13 et 14 juillet.
Quel bal des pompiers choisir à Paris ?
Dans un premier temps, nous avions jeté notre dévolu sur celui de Sévigné, nous sommes parties vers 22H30, mais c’est une heure beaucoup trop tardive pour ce type de bal.
Pour pouvoir entrer, une file d’attente longue sur 2 rues: la rue de Sévigné qui se prolonge avec celle de Rivoli. Notez pour l’année prochaine que si vous souhaitez aller dans un de ses bals prisés, il faut y être dés l’ouverture.
Après discussions et compromis entre 4 bridgets, nous avons opté pour le bal du 18ème moins connu donc plus de chances de rentrer.
Arrivées sur place avec une file d’attente ridicule comparée à celle du bal précédent, on est tout de suite dans l’ambiance avec des pompiers parsemés un peu partout dans la caserne.
L’entrée n’est pas (forcément) payante on donne ce que l’on veut.
Ambiance très populaire, familiale, de la musique digne d’un bon bal de province avec du Rita Mitsouko, l’inévitable Michael Jackson (du moment), en passant par Aretha Franklin…
Mais peu importe dans ces bals là on ne vient pas pour la musique mais surtout pour les pompiers
On les distingue facilement, polos bleus marine pour ceux qui sont de garde et chemisettes bleues pour ceux qui sont libres ou du moins qui n’iront pas en intervention.
La caserne du 18ème compte 119 pompiers autant dire qu’il y a du choix. Mais eux aussi ont l’embarra du choix.
Ndlr :En toute logique pour celles qui décideraient de finir leur nuit avec l’un d’entre eux, sachez donc que vous aurez plus de chances avec les chemisettes bleues.
Imaginez messieurs une soirée où les femmes sont toutes à vous, pas besoin de bouger, elles viennent vous caresser le fessier, se frotter contre vous, vous embrasser.
Sans mentir, l’effet pompier de Paris c’est ça
Paroles d’un pompier hier soir : » c’est clair que si il y en a un qui n’arrive pas en ramener une, il se débrouille vraiment mal ! »
Donc souvent les femmes boivent…et les hommes les cueillent ou plutôt les ramassent…
Conseil économique Mesdemoiselles : conservez votre flûte de champagne une fois vide, vers la fin de soirée ils se baladent dans la foule et remplissent vos coupes gratuitement.
On voit donc des pompiers embrasser des plus jeunes, des moins jeunes, des belles, et des moins belles. Des pompiers et des jeunes filles montent dans l’escalier d’une tour et redescendent la ceinture défaite, les cheveux décoiffés… (cette tour restera pour Bridget un grand mystère…;) )
Une chose est certaine les pompiers sont les maîtres de cérémonie, ils sont un peu comme les Bleus quand ils ont gagné la coupe de France sauf que là l’équipe est composée de plus d’une centaine de joueurs.
Alors ce bal des pompiers ?
Inévitablement, il fait partie des évènements où vous êtes sûr(e)s de faire des rencontres, certes beaucoup de viandes saoules (autant niveau femme que homme), et un fort pourcentage de pompiers beaucoup plus sportifs que littéraires mais l’ambiance reste bon enfant, les gens sont simples avec une ambiance populaire.
Pour les bridgets encore naïves (comme nous le rappelle « diablessange » dans un commentaire de notre précédent article) les pompiers restent tout de même une meute de consommateurs de femmes en tout genre, la fidélité n’est pas leur fort, toujours poussés par les autres meneurs de leur brigade.
Ils consomment sans limite, sachant que seul la facilité de l’uniforme fait qu’un nombre impressionnant de femmes s’offrent à eux.
La plupart des femmes qui ont testés les pompiers (mais aussi les militaires) ne se font généralement pas avoir deux fois…
A bonne entendeuse
Marlon
29 juillet 2012 at 5 h 42 minBal des pompiers de Paris, on
Je voulais vous congratuler pour cet article
plutot interressant.
curieuse
1 mars 2014 at 0 h 13 minc’est quoi se faire avoir par un pompier/militaire ?
Maug
29 septembre 2016 at 13 h 21 minLes femmes qui y vont la fidélité n’est pas leur fort non plus… on pourrait avoir la même chose pour le bals des infirmières … pleeease ?! ^^
LNA
17 septembre 2018 at 8 h 39 minun bon résumé, surtout sur la fin…ayant « consommé » moi aussi quelques specimens au polo bleu-marine je peux dire que le mythe du héros sauveur en a pris un sacré coup. J’ai quand même décliné l’invitation à une partouze en caserne qui m’avait été aimablement proposée. Apparemment (car plusieurs me l’ont dit) ce n’est que du très banal. Ca baise à tout va, ça « défonce » comme ils disent. Bref, si l’uniforme et les muscles saillants vous font fantasmer (c’est mon cas) allez-y mais n’y retournez pas, en tout cas pas avec le même. Et ne vous en vantez pas non plus :-). Au passage ce ne sont pas non plus des super coups (sauf exception).