17 mai 2020
Dans notre société où l’on a essayé de nous faire croire qu’il fallait travailler plus pour gagner plus, certaines personnes ont décidé de prendre au pied de la lettre cette citation et travaillent comme des forcenés, en misant toute leur vie dans leur emploi.
Ces personnes ont été reconnue comme addicts à leur travail, et en 1968 un terme anglais a même été inventé pour définir les bourreaux de travail : Workaholic appelé aussi Karoshi au Japon.
Donc il semblerait qu’il existe véritablement une catégorie de personnes dépendantes à leur travail n’ayant pas de temps à accorder leur vie privé.
Comment les reconnait-on ?
- Heures supplémentaires,
- Repas sur le pouce,
- Manque de sommeil,
- Travail rapporté à la maison,
- Vacances écourtées,
- RTT inconnu au bataillon
Définition du Workaholic
Le workaholisme est la relation pathologique d’un individu à son travail qui se caractérise par une compulsion à lui consacrer de plus en plus de temps au détriment des autres aspects de son existence : vie familiale et sociale, loisirs, culture…
Véritable dépendance et fuite en avant, le workaholic est en manque s’il ne lui est pas possible de travailler .
Plusieurs films ont montré des exemples d’hommes ayant tout misé sur leur carrière au dépit de leur famille :
« A propos d’Henry » (1991)
« Kramer contre kramer » (1980)
et bien sur « Family Man »
Ou comment trouver une excuse pour se rendre indisponible?
Mais attention ils sont quand même une minorité, ils sont à bien distinguer de l’homme/femme qui vous fait croire qu’il n’a pas une heure ou deux à vous accorder pour boire un verre ou voir même 5 min pour vous appeler.
On vous en parlait déjà dans un article précédent , lorsque l’on veut on peut. Alors arrêtons de croire un homme/une femme qui vous dit qu’il n’a pas trouvé le temps de vous rappeler.
blooky
9 avril 2009 at 8 h 31 minen passant…
Statistiquement, les hommes ont une probabilité largement plus élevée d’atteindre une situation/statut du meilleur niveau, que les femmes.
Vous conviendrez qu’y parvenir nécessite un certain investissement…
Et comme tant d’entres vous, mesdemoiselles et mesdames, ne sont pas capables d’un minimum de patience et de prouver leur intérêt face à une activité professionnelle bien plus captivante…
Bridget
13 avril 2009 at 13 h 15 minen te répondant 😉
blooky, je suis d’accord que certains hommes et certaines femmes se montrent terriblement impatients et alors que la relation n’est même pas établie, demandent une attention déjà énorme!texto quotidiens, appels, mails…
Mais il y a des limites à l’indifférence, certaines personnes ne trouvent même pas le temps d’aller boire un verre pendant plus d’un mois voir plus.
Alors ça peut faire fuir!
Se dire que si la personne ne prend pas ce temps.
Si relation il y a, elle va nous accordé quoi un we tous les 15 jours? 1 soir par semaine?
Je ne revendique pas le fait de zapper facilement, mais t’es d’accord que quand on veut on peut?enfin on se donne les moyens?
Sinon sache qu’il y a des femmes carriéristes qui veulent aussi atteindre le niveau le plus haut et doivent donc se battre beaucoup plus que des hommes, c’est pourquoi cet article est aussi valables pour des femmes 😉
blooky
18 avril 2009 at 20 h 14 minJe suis d’accord avec toi. Il vous savoir se donner les moyens de ses ambitions. Et si celle du moment est entre autres de trouver un(e) petit(e) ami(e), un minimum de discernement et d’exigeance permet de détecter rapidement le type de personne avec qui on peut envisager qqchose d’un minimum enthousiasmant.
Des femmes carriéristes j’en rencontre souvent ds mon boulot (partenaires externes). Pas plus tard que cette semaine j’ai appris que le mari d’une d’elles la quittait pour une de ses copines. Elle joue sa dernière carte en démissionnant de son super job. Pour ne rien arranger, il y a des enfants, des biens matériels divers et variés… et voilà une nouvelle cliente de ton site.
Alors que fait on finalement ?
Quelle attitude tenir autre que « remettre un euro ds la machine » ?
johnmaclane
18 avril 2009 at 22 h 19 minla société change
reveillons nous la société change, les femmes dopées au taff y’en a plein les sites de rencontre, 32/33 ans sans enfants qui ont tout donné pour le boulot!! arretez de stigmatiser les hommes ça ne sert a rien!
en toute amitié
3 mars 2012 at 1 h 40 minQuestion de choix de vie
Tout est question de choix de vie et de ce qui important pour chacun.
Perso , j’ai du mal à comprendre ce qui trouvent que le boulot est aboutissement.
bibitte
13 mars 2013 at 15 h 15 minLe travaille na jamais de fin sais comme les jeune et leurs jeux video