17 mai 2020
Mais qui seraient donc ces personnes qui auraient un rapport sexuel avec leur estomac? N’ayez pas peur aucune perversion dans ce terme, juste un nouveau mot inventé par les publicitaires pour ranger dans une nouvelle case les hommes hétéros agés de 25 à 44 ans qui séduisent les femmes avec leur talent culinaire.
On vous a déjà parlé des métrosexuels, übersexuel, et bien peut etre que vous ne le savez encore pas les filles mais votre ami est peut être un gastrosexuel ou si tu es un homme tu en es peut-être un sans le savoir.
La définition exacte du gastrosexuel
Selon la définition établie par les Britanniques et plus précisément l’agence PurAsia, le gastrosexuel est un homme célibataire âgé entre 25 et 44 ans, curieux, passionné par la cuisine, séducteur, instruit, qui aime voyager et qui a un emploi.
L’agence a créé ce terme suite à une étude sur le comportement des hommes et la cuisine.
- 52% des hommes considèrent que faire à manger est un loisir et non une corvée.
- les hommes passent 5 fois plus de temps dans la cuisine qu’au début des années 60
- plus de la moitié de ceux qui ont entre 25 à 44 ans aiment cuisiner pour leurs amis et leur famille.
Que pensent les femmes des hommes qui font la cuisine:
Selon un sondage qui n’a rien de scientifique, plusieurs femmes dans la vingtaine et la trentaine ont été interrogées sur ce qu’elles pensent des hommes qui cuisinent.
Leurs réponses :
- C’est très sexy
- hyper sexy
- adorable
- charmant
- séduisant
Vous en pensez quoi les filles, c’est plutot sympa un mec qui sait faire la cuisine, non?
hervé
28 novembre 2008 at 14 h 34 minpresent
ca y’est j’ai ma catégorie, j’en suis tota 😆 lement un!!!!!
chesterfield
28 novembre 2008 at 18 h 55 minLa évidement c’est beaucoup plus sympa un mec qui sait (et aime) faire la cuisine ( et tant qu’on y est un soupçon de ménage :whistle: )qu’en mec qui trouve que ça va mieux à une femme..Maintenant le terme gastrosexuel je suis pas sure de trouver ça tip top, ça me fait penser à heuuu 😡 …
pminguet
29 novembre 2008 at 17 h 48 minpas heureux comme mot
Suis totalement d’accord avec ChesterField. Pas heureux, gastro… sexuel.
Mais la catégorie existe bien, et elle n’est pas hétéro, homo ou autre.
Y a des mecs qui adorent faire la cuisine, qui aiment généralement la convivialité, le partage et aiment séduire aussi. Qu’ils couchent avec un mec, une femme ou les deux çà n’a aucune importance. Dans leur fort intérieur ce sont des épucuriens, qui aiment le partage. Que demander de mieux.
Après le mémnage c’est autre choses.
J’aime, j’adooooore faire la cuisine, et j’aime quand les invités apprécient. Après c’est aussi un vrai argument de séduction pour les deux sexes (enfin ma belle mère elle aime, mais elle fait tout pour être détestable…. mais bon c’est aussi ma belle mère….)
dd
29 novembre 2008 at 18 h 05 minL’ORALITE
l’enfant qui se construit traverse une des premieres phase de sa construction que l’on appelle « la sexualite orale » celle ci (plus ou moins) restera « attachee » a notre vie sous une forme ou une autre – le baiser sur la bouche, l’oralite sexuelle restera toujours presente….il peut meme y avoir ce que l’on apelle une « fixation orale » a la sexualite (alcool, tabac et autre formes…) ne sont que des derives de fixation orale qui remonte a l’enfance….ou plus simplement le sein de la mere ou son derive…l’oralite est le premier plaisir « sexuel » qu’eprouve l’enfant, qui sera suivi par « la phase anale »…a chacun de voir ou se trouve sa « fixation » orale….
pminguet
29 novembre 2008 at 19 h 24 minOralité oui et alors ?
N’étant pas du tout câlé dans ce domaine, oralité, anale et alors…. Le rapport avec aimer faire la cuisine, aimer manger je comprend, ou alors on parle de préliminaires c’est çà ou je suis à côté de la plaque ?
Qui peut me mettre sur la voie ?
Mérédith
30 novembre 2008 at 22 h 33 minEn tant que bonne épicurienne, je fonds totalement pour ces « cooking lovers » :woohoo:
On ressent plus d’attentions à notre égard dans la préparation « avec amour », la touche de présentation, le plaisir d’offrir .. non je craque rien à faire !!! :unsure:
dd
1 décembre 2008 at 12 h 03 minOralie
Un peu (mais vraiment un peu) de reponse a pminguet, je voulais simplement dire que le tout premier plaisir « autour duquel » va se construire notre sexualite c’est justement le plaisir orale (que l’on retrouve sous mille forme dans l’acte d’amour, les preliminaires et toute la sexualite)…Un vel exemple des « souvenirs inconscients de cette periode » combien de personnes ne peuvent boire de lait ? ou ne supporte pas la peau dans le lait ? eh bien tout cela a avoir avec cette periode et d’une facon ou d’une autre restera present dans notre inconscient (plus de 80 % de notre activite pyschique) d’une facon ou d’une autre…il existe bien des personnes qui « dans la sexualite » ne peuvent atteindre l’orgasme que par le chemin orale ? » tout cela se rejoint….je pense pouvoir dire qu’il n’y a rien de plus compliquer que la sexualite qui est AU CENTRE de notre vie consciente et inconsciente et qui est presente dans quasiment tout ce que nous faisons sous une forme ou une autre…Bien a vous – dd
chesterfield
2 décembre 2008 at 19 h 27 minC’est marrant quand c’est la nana qui cuisine personne évoque Freud ou autre… 😛 on trouve ça normal et allant de soit. Un malin trouve que c’est plus vendeur de titrer « gastrosexuel » que « raymond fais la cuisine » et tout de suite on se colle une soit disant nouvelle génération d’hommes avec débat psycho à l’appui. :whistle:
jb
3 décembre 2008 at 21 h 06 minEncore une nouvelle preuve que l’homme sais s’adapter !!! Est ce que les hommes qui ont changés ou bien les femmes ?
La faim justifie les moyens…
dd
6 décembre 2008 at 13 h 06 minPour Chesterfield
Bonjour et bien amicalement – la femme est evoquee par Freud des la naissance de l’enfant (femme ou homme) puisque le premier repas gastronomique GIGANTESQUE que va faire le bebe sera celui donne par le sein de la mere, ou son subsitut, et de la « partira » cette oralite; si il y a aussi des raisons socio culturelles a ce que ce soit la femme qui « en general » fasse le repas, il n’en est peut etre pas moj s vrai que cela « remonte » aussi a sa nature constitutive (la femme/ la mere) d’avoir cette faculte, que l’homme n’aura jamais de nous donner notre premier festin. Pour autant je pense qu’il est bon que l’homme soit aussi « a la cuisine » et une question pour finir Pourquoi les grands chefs cuisiniers et les cusiniers en general sont des hommes / il y a tres peu de femmes? voila une question ou il n’est surement pas si simple que cela d’y repondre.
Bien a vous – cordialement – dd
jb
6 décembre 2008 at 20 h 31 minpas si compliqué 🙂
Bonjour a vous.
La division sexuelle des rôles n’est pas un mystère.
Depuis toujours, l’éducation ou la religion ont été un vecteur de ces rôles.
Dans le livre de grammaire à l’école, « papa bricole, maman fait la cuisine ».
C’est un état de chose à combattre ou pas.
Un féminisme plus virulent des bébés de soixante-huitards ou de leur mère, nous a donné une ou plusieurs générations de personnes refusant le rôle que la société leur impose sans forcement en prendre de nouveaux en contrepartie.
Ce n’est donc pas vraiment une question freudienne à mon sens, mais une question sociologique.
Concernant les chefs deux réponses me viennent à l
dd
7 décembre 2008 at 6 h 08 minPSY / SOCIOLOGIQUE
Oui JB je n’ecarte pas non plus la question sociologique et meme culturelle qui varie d’un pays a l’autre, d’une culture a l’autre; je pense que les reponses ne sont jamais simples et se completent.
Toujours dans l’oral = pas une seule religion n’a pas « au centre » de ses structures, pratiques ou autre l’oralite.
On offre de la nourriture au Dieu depuis des siecles, on recoit la communion, on fait le ramadan, les Hindouistes ne font pas une « puja », priere sans offrir bananes, preparations sucrees etc.,..et apres nenediction le pretre redonne une partie…sous la forme du jeune ou de l’abondance l’oralite est presente partout….vous prepariez JB une approche pour les hommes qui sont cuisiniers et tres peu de femme….a suivre…
G
31 août 2009 at 11 h 41 min🙂
C’est le deal avec Madame :
Je fais à manger, elle fait le ménage !