Re:Devient-on un(e) bon(ne) amant(e)? ou c’est inné?

Absolument d’accord : selon le ressenti et l’émoi que l’autre provoque en vous, "l’inspiration" (je ne trouve pas un meilleur mot pour ça, mais je vais chercher) sera plus ou moins présente. Et de la même façon, ce ressenti vous fait être plus ou moins inhibé.

Or plus l’inhibition est présente, plus la tension est là, et plus il est difficile de s’en départir. Comem on dit, on ose ou on n’ose pas. C’est une question de confiance en l’autre.
Pour le reste, j’ai tendance à penser que certains ont des dispositions et d’autres moins.
Du reste ça m’a été confirmé par mes ex (ce qui est amusant d’ailleurs ce que vous mesdames avez plus tendances à faire des comparaisons que nous, certainement parce qu’encore une fois les hommes ne s’étendent pas des masses sur le sujet par pudeur) Ou alors encore une fois y’a quelques extraterrestres parmi nous ? ^^