21 juin 2020
Pour ceux qui nous suivent sur twitter, jeudi matin vous avez peut-être vu passer d’étranges tweets au sujet des animaux et plus particulièrement leur sexualité. La raison, notre visite de l’exposition passionnante « Bêtes de sexe ».
Tant d’informations surprenantes, qu’il était difficile de ne pas tout dévoiler. Depuis le 23 octobre et jusqu’au 25 août 2013 vous pouvez la voir au Palais de la Découverte.
Qui nous dévoile et/ou nous rappelle les différentes pratiques de séduction dans le monde animal: comment le choix du partenaire s’effectue, les moults manières de se reproduire et aussi les différentes façons de s’occuper de leurs progénitures.
Beaucoup d’infos pour briller pendant un week-end à la campagne avec votre nouvel(le) conquête ou tout simplement agrémenter votre culture.
Pour ceux qui n’ont pas la chance voir le temps d’y aller voici quelques infos que nous avons retenues.
Le lézard à queue en fouet a fini par éradiquer le mâle de son espèce et n’a plus besoin de lui pour se reproduire. Pour ovuler, les femelles ont quand même toujours besoin de se stimuler mutuellement.
Le gros problème de ce clonage est que l’espèce s’affaiblit et si un nouveau virus frappe un jour cette espèce, elle risque de disparaitre.
Dans le monde animal, la plupart des mâles sont prêts à tout pour se reproduire et obtenir l’ovule rare de la demoiselle. Et certains se cassent vraiment la tête pour être choisi.
Parmi la douce sérénades du poisson-crapaud, des arômes envoutants de certaines plantes, les apparats de certains oiseaux, ils sont nombreux à offrir des cadeaux alimentaires.
Le rossignol, la mésange, les mouches danseuses, la mante religieuse et bien d’autres encore s’assurent dans cette démarche que la femelle sera en bonne santé pour porter leur progéniture. Certains en profitent même pour choper la femelle pendant qu’elle est concentrée à manger son présent. Qui a dit que les mâles étaient calculateurs ?
L’acte sexuel forcé: certains ne s’embêtent pas à séduire pour arriver à leur fin.
Le serpent jarretière contraint la femelle au rapport sexuel en l’étouffant. Ainsi par réflexe d’auto-défense, elle sécrète matière fécales et autres substances chimiques pour le repousser. Le mâle en profite alors pour pénétrer l’orifice sexuel qui s’est ouvert.
Etre sur d’être le père: un phénomène que l’on retrouve chez beaucoup d’espèces.
Le besoin du mâle de tout faire pour être certain d’être le père de la progéniture de la femelle.
Par exemple, le sperme du hérisson une fois introduit dans le vagin se solidifie le temps que l’ovule soit fécondée. Il s’assure ainsi la première place au podium.
Chez le phasme de Floride le coup d’un soir n’existe pas. Après un petit coup rapide, il garde sa partenaire en restant sur elle pendant 5 mois !
L’homosexualité a été observé chez 450 espèces animales.
Les jeunes mâles manchots d’Amélie ont des pulsions sexuelles tellement fortes qu’ils essaient de s’accoupler avec n’importe quoi y compris entre eux.
Chez de nombreux primates comme le Bonobo, les relations sexuelles servent à apaiser les tensions et instaurer des liens et quelques soit l’âge et le sexe du partenaire.
Quand il s’agit d’adoption, les animaux écoutent leur instinct et ils font bien. Un couple de pingouins mâles au zoo de new york ont fait éclore un oeuf, et tous deux ont élevé le poussin.
Conclusion
Faites du sexe quelques soit le sexe et l’âge de l’autre, il y aura sûrement moins de guerre.
Et on envie fortement la cane qui dispose de plusieurs vagins avec des cul de sac qui lui permettent de diriger le sexe de son partenaire quand elle considère qu’il ne mérite pas de la féconder. Quel beau moyen de contraception naturel ! Certaines images vidéos un peu crues et explicites méritent d’être expliqué par un adulte.
Note: Si vous souhaitez emmener votre neveu ou enfant, l’âge minimum conseillé est de 10 ans.